Minis chroniques en bazar #1

Winifred fait sa rentrée au lycée, et cette année, elle va se réinventer.
Restée seule après le départ de ses meilleures amies, Wini appréhende cette rentrée qu’elle va devoir affronter seule. Mais en classe d’art, elle fait la connaissance d’Oscar et April, deux êtres sensibles et rebelles.
Entre soirées clandestines et publication de fanzines, Winifred commence enfin à sortir de sa coquille. Mais il reste un secret qu’elle n’a pas le courage d’avouer… et ce mensonge pourrait bien lui coûter ces amitiés fraîchement nouées.

C’est une belle histoire d’amitié entre Winifred, April et Oscar. Les TCA sont abordés. Un des personnages principaux est bisexuel sans être dans le cliché de quelq’un de volage. J’ai adoré les dessins en couleur et l’histoire qui est addictive.

Addie est une fille autiste et se fait harceler à l’école. Lorsqu’un sujet l’intéresse énormément, elle est à fond. Quand elle apprend en cours d’histoire que son village de Juniper a persécuté, torturé et exécuté au Moyen Âge des dizaines de sorcières, elle est bouleversée. Elle va se battre pour qu’il y ait un mémorial en hommage à ces sorcières dans son village.

J’ai trouvé la représentation du trouble du spectre de l’autisme juste car c’est un roman ownvoice et je suis moi-même autiste . Ce roman fait plus jeunesse car l’héroïne est en CM2 mais il peut être acccessible à un ado comme moi.

Kasienka est polonaise
et elle vient d’arriver
en Angleterre avec sa mère.
Mais la vie ici n’a rien d’une vie rêvée.
Heureusement, il y a la piscine,
il y a l’eau. Et dans l’équipe de natation,
il y a William…

Il m’a fait beaucoup penser au livre Aux délices des anges de Cathy Cassidy car l’héroïne est polonaise, vient d’arriver en Angleterre avec leur mèren habite dans un taudis et vit une histoire d’amour. J’ai trouvé le style d’écriture poétique. L’harcèlement scolaire est abordé. J’adore le format du roman en vers libres. Je me suis attaché aux personnages de Kanoro, William et Kasienka. La fin paraît légèrement inachevé.

On suit les craintes, les doutes et les sentiments d’un condamné à mort pour dénoncer la peine de mort.

C’est un roman court que je devais lire pour les cours. il y a peu d’action mais le style d’écriture est moderne pour son époque. J’ai déteste la mise en page des chapitres qui se superposent l’un et l’autre.

C’est le prequel de The Hate U Give. Il se focalise sur le personnage de Maverick qui est le père de Starr. Il est affilié à un gang pour se protéger avec son père qui est en prison. Il doit faire face à l’arrivée de son enfant Seven tout en affrontant la colère de sa petite amie Lisa. Maverick veut quitter les gangs mais ce sera un chemin difficile pour y parvenir.

On plonge au coeur des gangs. Le verlan est couramment utilisé dans le roman pour plus d’authenticité. On en connait plus sur Maverick, Seven et Starr.

Les études d’Akiko au sein des Beaux-arts vont bientôt s’achever… Et si la jeune femme a bien profité de son quotidien, elle réalise un peu trop tard que pendant ces trois années, elle n’a pas dessiné une seule planche de manga. Un retour à Miyazaki, sa région natale, semble alors inévitable. Comment se passeront ses retrouvailles avec son professeur ?

Note : ⭐⭐⭐⭐⭐

Après un long voyage harassant, Arte est enfin arrivée à Venise pour commencer une nouvelle vie en tant que peintre et préceptrice. Mais voilà qu’elle est confrontée à Caterina, une chipie pour le moins capricieuse. Arte arrivera-t-elle à répondre aux immenses attentes de son entourage et à dompter le cœur de sa petite élève ?

Même si ce tome se concentre moins sur la peinture, on s’attache encore plus au personnage d’Arte qui est pétillante et gentille. J’ai aussi aimé le personnage de Caterine qui est plus complexe qu’elle en a l’air.

C’est une biographie d’Alice Guy qui est la première réalisatrice de l’histoire du cinéma. Elle a réalisé beaucoup de courts-métrages au cours de sa vie qui ont malheureusement disparus.

Elle comporte beaucoup de longueurs et de détails mais j’ai quand même accroché à l’histoire qui reste intéressante.